Lors de mon dernier séjour à Paris, je n'ai pas eu le temps de voir des choses liées à la Russie. La prochaine fois, peut-être, et à condition
d'y aller SEULE, pour faire ce que je veux ! Pourtant, ça commence bien avec cette galerie, juste en face de ma niche, rue de Beaune...
Et dans ma station de métro... Même s'il ne cesse de répéter qu'il est américain... Même s'il n'a pas remis les pieds en Russie depuis 1974... La Russie ne
l'oublie pas, Micha. Il est bien retourné dans sa ville natale, Riga (Lettonie), mais on l'attend toujours à Saint-Pétersbourg-Léningrad où sa gloire a commencé !
Je n'étais plus allée à Montmartre depuis longtemps.Par hasard, j'ai vu
cette cette plaque, place du Tertre. C'est connu, notre "bistrot" viendrait du mot russe "быстро", bystro, qui signifie "vite". Un verre, fissa ! Une légende, peut-être, mais je l'aime bien !
Enfin, question étymologie, là, chacun y voit ce qu'il veut.
Montmartre toujours. Le romantique mur des "Je t'aime" (2000) dans le square Jehan-Rictus, place des Abbesses.
"En disciple de Philéas Fogg, Frédéric BARON rêvait d'un voyage autour du monde en 80 "Je t'aime". Il n'est pas parti. Il a demandé à son frère cadet de lui écrire la phrase magique. Puis il s'est tourné vers un voisin qui était arabe ou portugais ou russe. Et ainsi de suite. Il a poussé beaucoup de portes - en particulier celles des ambassades. Chaque fois, c'était le même déclic, le même élan du coeur, pour aboutir à la plus belle moisson de mots d'amour : trois gros classeurs avec "Je t'aime" écrit 1000 fois en plus de 300 langues. [...] Le format des plaques de lave rappelle celui des feuilles de papier sur lesquelles ont été recueillies par Frédéric Baron les écritures manuscrites. Les éclats de couleur sur la fresque sont les morceaux d’un cœur brisé, celui d’une humanité qui trop souvent se déchire et que LE MUR DES JE T’AIME tend à rassembler." (http://www.lesjetaime.com/)
J'ai trouvé "Я тебя люблю", Ya tibia lioubliou ! Du site officiel, on peut même offrir un "je t'aime" en russe...
Des noms qui provoquent un petit pincement au coeur...
1er mai oblige, le Gastronom N.8 du boulevard des Batignolles était fermé. J'aurais bien acheté une Baltika !
La vodka pétersbourgeoise "Rousski Standart". Elle est disponible aussi dans certaines grandes surfaces françaises. Et pour les amateurs (je n'en
fais pas partie), je rappelle que la vraie vodka russe doit avoir 40° ! Des amis avaient acheté une vodka polonaise à 37,5°... Pfff !
Париж, я люблю тебя !